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Les matchs de plusieurs heures, les tournois simultanés, le décalage horaire et les centaines de rencontres chaque semaine. Il n'y a rien de plus beau que le tennis mais suivre ce sport n'est pas de tout repos. Avec Parlons Tennis, le monde de la petite balle jaune n'auras plus aucun secret pour toi !
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25. C'est le nombre de secondes règlementaires accordé aux joueurs pour servir. Le décompte commence à la fin de l'échange. Le lancer de balle suivant doit débuter avant que l'horloge n'affiche 0. Certains arbitres sont plus indulgents que d'autres sur le circuit. Mais à Shanghai, les machines décident. Le chronomètre est déclenché par un robot qui ne laisse aucune marge de manoeuvre aux arbitres de chaise. Résultat ? Des joueurs mécontents. Alexander Zverev, Frances Tiafoe puis Stefanos Tsitsipas. Tous se sont plaints du rythme effrené qui leur était imposé entre les points.
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Thomas Machac élimine Carlos Alcaraz (7/6 7/5) en quart de finale du master 1000 de Shanghai. Pourtant considéré comme l'un des principaux prétendants au titre, le jeune espagnol n'a pas réussi à déployer son tennis ce jeudi. Le tchèque a restreint la créativité et l'explosivité de son adversaire. Un jeu construit vers l'avant et une prise de risques de tous les instants ont été la clé de cette victoire inattendue. Carlos Alcaraz n'était pas dans son meilleur jour. Le pauvre ratio de balles de break converties (une sur huit) en témoigne. Thomas Machac s'est surpassé dans les moments les plus importants.
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Rafael Nadal jouera son dernier match officiel lors de la phase finale de la Coupe Davis à Malaga entre le 19 et le 24 novembre 2024. Une annonce que le monde du tennis redoutait depuis plusieurs mois. "La boucle est bouclée", a affirmé le principal interessé sur son compte instagram. Révélé au grand public lors du même tournoi il y a 20 ans, Rafa tirera sa révérence là où tout a commencé. Agé de seulement 17 ans, il battait le numéro 2 mondial, Andy Roddick, en finale de la Coupe Davis 2004. De nombreux fans de tennis rêvaient d'un adieu à Roland Garros avec une quinzième Coupe des Mousquetaires dans les bras. Son corps n'est plus en état de nous offrir un tel souvenir. Un ultime match sous les couleurs de son pays devra faire l'affaire.
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"[Les balles] ne sortent pas de la raquette. Il y a quatre ans, avant le Covid, elles étaient différentes et il y avait plus de retours gagnants sur les services volées", explique Daniil Medvedev. Le russe n'est pas le seul à trouver cette évolution du jeu dommage. L'année dernière, des figures légendaires du tennis, telles que Novak Djokovic ou Andy Murray, s'étaient plaints de la lenteur des balles à l'Open d'Australie. Dans ces conditions, accélérer l'échange demande une explosivité et une flexibilité du poignet dont peu de joueurs diposent. Aller au-delà de ses capacités physiques mène souvent à des blessures. L'épaule de Stefanos Tsitsipas en est un exemple.
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Jannik Sinner et Novak Djokovic se sont affrontés une deuxième fois cette saison. Huit mois de différence mais le même résultat à la clé : une nette victoire de l'italien. Il n'a eu besoin que de deux sets (7/6 6/3) pour remporter son septième titre de la saison à Shanghai face au meilleur joueur de l'histoire. La première manche a été disputée jusqu'au bout. Elle a mis en lumière les similitudes des deux athlètes : une prise de balle tôt, un service impeccable dans les moments clés et une volonté de faire craquer l'adversaire depuis sa ligne de fond de court. Novak Djokovic a montré quelques failles par la suite : des fautes directes grossières et trop peu de premières balles pour inquiéter le numéro un mondial. Jannik Sinner revient à 4-4 dans l'historique de leurs confrontations.
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Les films sur le tennis sont nombreaux mais rarement réussis. La Bataille des sexes est l'une des exceptions. Emma Stone incarne Billie Jean King. Dans les années 70, elle est l'une des seules joueuses à se battre pour mettre le tennis féminin sur le devant de la scène. Sa quête d'égalité la pousse sous le feu des projecteurs quand elle accepte de jouer un match contre Bobby Riggs. Ancien numéro un mondial mais désormais retraité de 55 ans, il est convaincu qu'aucune femme ne fait le poids. Steve Carell parvient à rendre ce macho attachant. Lunaire, fun et coloré. Ce film inspiré de faits historiques a tout pour plaire !
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