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Le tennis est un sport sublime mais imprévisible. On ne sait pas quand le match commence, quand il finit, qui jouera demain ou dans quelles villes iront nos joueurs préférés la semaine suivante. Avec Parlons Tennis, le monde de la petite balle jaune n'aura plus aucun secret pour toi !
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1. Cela fait tout juste un an que Novak Djokovic a remporté l'unique médaille d'or olympique de sa carrière. Pendant cette tournée américaine qui a du mal à s'envoler, on ne peut que regretter les émotions qui habitaient le court Philippe-Chatrier, dimanche 4 août 2024. Le Serbe s'est rarement, peut-être jamais, montré aussi ému qu'après cette victoire arrachée en deux sets (7/6 7/6) à Carlos Alcaraz. Vu le visage de sa saison actuelle - un forfait et deux éliminations consécutives en demi-finale de Grand Chelem -, il pourrait ne plus jamais avoir l'occasion de s'allonger de tout son long sur l'un des courts les plus prestigieux du monde. Sauf s'il réalise l'impossible, une toute dernière fois.
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Iga Swiatek a été éliminée dès les huitièmes de finale du WTA 1000 de Montréal par Clara Tauson (1/6 3/6). Tout au long du match, la numéro trois mondiale a donné l'impression de se précipiter. À maintes reprises, elle tente des coups gagnants long de ligne qui ouvrent tout le court à son adversaire. Il suffit alors à la Danoise de remettre la balle dans les limites du terrain, ce qu'elle fait très bien. La favorite a bien des occasions de revenir, mais elle ne fait jamais preuve d'assez de justesse et de lucidité pour les saisir. Sur neuf balles de break, elle n'en convertit que deux. Cela ne suffit pas face au ratio de trois sur cinq de sa rivale. La fatigue accumulée par Iga Swiatek ces dernières semaines a sûrement pesé dans la balance. L'ancienne numéro un mondiale ne s'est pas accordée de pause après son sacre à Wimbledon, samedi 12 juillet.
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Victoria Mboko s'offre la tête de série numéro un, Coco Gauff, en huitièmes de finale du WTA 1000 de Montréal (6/1 6/4). La jeune Canadienne n'a pas encore 19 ans, mais est dorénavant bien connue. Actuellement 85e au classement WTA grâce à son beau parcours, elle pointait à la 333e place mondiale au début de la saison. Une ascension fulgurante, en toute discrétion. Tout commence, comme toujours, sur le circuit ITF. Entre le 6 janvier et le 16 février, elle remporte quatre titres d'affilée. Riche de son expérience sur le circuit secondaire, elle se lance progressivement dans la cour des grandes. Dès le mois de mai, elle atteint la finale de l'Open de Parma, un WTA 125. Sans faire de bruit, elle rejoint également le troisième tour de Roland-Garros et le deuxième de Wimbledon. Jusqu'où ira-t-elle à Flushing Meadows ?
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" [Rafael Nadal] m'a dit, à de nombreuses reprises, que je devais être plus courageux. Il m'a rappelé que je dois prendre mon destin en main dans les moments importants [...]. Il m'a dit que quand je retiens mes coups je deviens vulnérable et plus prévisible ", a raconté Alexander Zverev au micro du Nothing Major Pod. Le taureau de Manacor a résumé la plus grande faille de l'Allemand : sa passivité dans les matchs qui comptent. Elle lui a fait perdre sa première finale de Grand Chelem (US Open 2020), et sûrement la deuxième aussi (Roland-Garros 2024). En attendant, Sascha Zverev devient le premier joueur né dans les années 1990 à atteindre 500 victoires sur le circuit ATP. Un joueur qui gagne donc beaucoup, mais jamais quand il en a le plus besoin.
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Le match des huitièmes de finale du masters 1000 de Toronto, entre Ben Shelton et Flavio Cobolli, a tenu en haleine le public canadien jusqu'aux dernières minutes. Les breaks se sont échangés des deux côtés du filet, jusqu'à offrir un tiebreak décisif aux spectateurs du court central. Quelques minutes plus tôt, l'Italien servait pour le gain du match. Mais Ben Shelton n'a pas lâché le morceau, lui qui adore les matchs qui s'éternisent dans la nuit. Sa ténacité a été récompensée puisqu'il s'est qualifié (6/4 4/6 7/6) pour les quarts de finale. Si les duels de fond de court ont dominé la partie, les quelques variations de l'Américain - notamment ses slices en coup droit et en revers - ont eu le mérite de déstabiliser Flavio Cobolli.
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"Et la terre s'arrêta", "God save the king", "De la terre à la lune", "Sans partage", "Divin", "Absolument géants" ou "Une étoile sur terre". Autant d'Unes de L'Equipe légendaires consacrées au tennis qui, en un coup d'œil, ravivent des souvenirs frais ou lointains. Bonne nouvelle : elles sont toutes disponibles à l'achat sur le site du quotidien. Du format A4 à celui qui occupe tout le mur du salon. Il y en a pour tous les goûts : pour les amoureux de Nadal, les fidèles de Federer, les admirateurs de Djoko et même pour ceux qui ont déjà le regard tourné vers les jeunes prodiges.
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