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Le tennis est un sport sublime mais imprévisible. On ne sait pas quand le match commence, quand il finit, qui jouera demain ou dans quelles villes iront nos joueurs préférés la semaine suivante. Avec Parlons Tennis, le monde de la petite balle jaune n'aura plus aucun secret pour toi !
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100. C’est le nombre de titres remportés par Novak Djokovic. Le dernier en date : l’Open de Genève. Comme l’année passée, le Serbe s’est engagé dans cet ATP 250 afin de retrouver des sensations avant Roland-Garros. C’est réussi ! Même s’il est loin de son meilleur niveau, notamment au retour de service, il parvient à décrocher la victoire finale. Sans compter sa médaille d’or olympique, le Djoker n’avait pas remporté de tournoi depuis l’ATP Finals en 2023. Celui-ci fait du bien à quelques jours de son entrée en lice Porte d’Auteuil. S’il retrouve ses qualités de receveur, le meilleur joueur de l’histoire pourrait créer la surprise. Ce ne serait pas la première fois de sa carrière que Novak Djokovic défie les probabilités pour s’imposer en Grand Chelem.
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Changement d’équipe pour le numéro un mondial. En 2026, Carlos Moya rejoindra le clan de Jannik Sinner à la place de Darren Cahill. Le départ de ce dernier n’est pas une surprise. Dès janvier, l’Australien avait annoncé que 2025 serait sa dernière année en tant que coach. En revanche, l’arrivée de l’ancien entraîneur de Rafael Nadal en est une. Cette collaboration pourrait permettre à l’Italien d'enfin se révéler sur terre battue. Pour l’instant, il n’a pas su faire les ajustements nécessaires pour être aussi incisif que sur dur. Et pour cause, la lenteur et les hauts rebonds de cette surface affaiblissent ses plus grandes armes : une prise de balle tôt et un jeu à plat.
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Pour son dernier Roland-Garros, Richard Gasquet prolonge encore l’aventure. Il remporte son match du premier tour face à Térence Atmane (6/2 2/6 6/3 6/0). Cette victoire lui offre le privilège d’affronter le numéro un mondial sur le Court Central dans quelques jours. Pour le dernier match professionnel de sa vie, que rêver de mieux ? Partir sur une défaite logique face à l’un des favoris ne lui sera jamais reprochée par le public français. Surprendre le monde du tennis en éliminant Jannik Sinner serait la plus belle fin possible d’une honorable carrière.
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« Vous m’avez poussé tous les jours à la limite. Au final, le tennis est un jeu. Et votre présence est le message que l’on peut aussi être amis, même si l’on a bataillé sur les courts. » Ces mots, Rafa Nadal les prononce devant un court Philippe-Chatrier plein à craquer lors de la cérémonie organisée en son honneur dimanche dernier. Ces paroles, il ne les adresse pas à n’importe lesquels de ses rivaux mais aux trois plus grands : Roger Federer, Novak Djokovic et Andy Murray. Tout sourires, les quatre hommes avaient l’air ravis et émus de se retrouver dans de telles circonstances. Et si le dernier représentant de cette génération dorée remportait la Coupe des Mousquetaires cette année – comme un dernier hommage à son plus grand adversaire ?
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Valentin Royer et Daniel Elahi Galan ont tenu en haleine tout le public du court n°6 de Roland-Garros pendant 4h18 dimanche. Le Français s’incline au bout du cinquième set : 6/7 3/6 6/3 7/6 5/7. Pourtant, le sort de cette rencontre dépendait du Tricolore. Lorsqu’il s’applique, il parvient à faire reculer son adversaire avec ses points construits à la perfection. Il trouve le bon équilibre entre patience et prise d’initiative quand une brèche s’ouvre. Mais dans les instants qui comptent le plus, la tension le rattrape. La Colombien s’en sort grâce à son expérience des grands moments. Ancien 56e au meilleur de sa carrière, il atteint les huitièmes de finale de Wimbledon en 2023 et le troisième tour de l’US Open en 2022. Des références essentielles au plus haut niveau.
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Roland-Garros, ou tout simplement Roland pour les habitués. S’il ne fallait choisir qu’une image pour représenter cette merveilleuse quinzaine, c’est celle de Rafa qui mord l’anse de la Coupe des Mousquetaires. Mais cette année, pour la première fois depuis 2005, on sait d’ores et déjà qu’on n’y aura pas droit. Alors pour les plus nostalgiques, qui rêvent de revivre les 14 sacres du roi de la terre battue, L’Equipe a exaucé votre vœu. Le numéro hors-série du mois de mai leur est entièrement consacrés. Matchs légendaires, interview de Toni, récit de son enfance à Majorque et victoires inoubliables. Il ne manque rien, ces pages sont parfaites.
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