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Le tennis est un sport sublime mais imprévisible. On ne sait pas quand le match commence, quand il finit, qui jouera demain ou dans quelles villes iront nos joueurs préférés la semaine suivante. Avec Parlons Tennis, le monde de la petite balle jaune n'aura plus aucun secret pour toi !
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La 113ème édition de l’Open d’Australie a démarré. Un nombre sans grande signification, mais une année aux enjeux monstres. En 2025, ils sont plusieurs à vouloir laisser leur marque dans l’histoire du sport. Novak Djokovic, le plus évident. Il poursuit le record de titres du Grand Chelem hommes et femmes confondus. Les prochains jours représentent sa plus belle occasion. Carlos Alcaraz, le plus féroce. L’Espagnol pourrait devenir le plus jeune joueur de l’histoire à avoir remporté les quatre tournois majeurs. Aryna Sabalenka, la plus sereine. La numéro un mondial cherche à défendre son titre pour une deuxième fois consécutive. Elle serait la première joueuse à réaliser cet exploit depuis Martina Hingis.
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2025 ne sourit pas à Stefanos Tsitsipas. Il s’incline d’entrée contre Alex Michelsen (6/7 3/6 6/2 4/6) à l’Open d’Australie. Il faut remonter à 2018 pour retrouver une si piètre performance de Tsitsipas à Melbourne. Il perdait contre Denis Shapovalov en trois petits sets. A l’époque, il était encore jeune et inconnu du grand public. Aujourd’hui, il ressemble de plus en plus à un espoir du tennis déchu. Un Tsitsipas au regard vide s’est présenté en conférence de presse après sa défaite. Il ne semblait pas avoir envie de s’éterniser sur le circuit ATP : « J’avais un état d’esprit plus frais quand je suis devenu joueur professionnel. J’avais une détermination complètement différente d’aujourd’hui ».
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Avant l’Open d’Australie, il y avait l’ASB Classic et Adélaïde. Deux ATP 250 qui permettent aux joueurs de trouver leurs repères avant Melbourne. Le top 10 s’est abstenu, laissant le champ libre au reste du peloton. C’est Gaël Monfils qui en a profité. Il remporte son treizième titre en carrière à Auckland le 11 janvier. Et pas n’importe lequel. Ce trophée fait de lui le joueur le plus âgé à s’imposer en finale sur le circuit ATP. A 38 ans et 132 jours, il bat le record de Roger Federer. Le Maestro avait remporté l’Open de Bâle à 38 ans et 74 jours en 2019.
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« Il y aura un nouveau champion en 2025 », répond Alexander Zverev. La question qui lui est posée dans les coulisses du Melbourne Park : « Quelle est ta prédiction inattendue pour cet Open d’Australie ? ». On ne s’attendait pas à une autre réponse de l’Allemand. Cela fait des mois qu’il crie sur tous les toits être prêt à gagner un premier titre en Grand Chelem. Que Sascha Zverev y parvienne ou non, son pronostic pourrait devenir réalité. Cette année, seulement trois joueurs présents dans le tableau ont déjà remporté l’Open d’Australie. Jannik Sinner, Novak Djokovic et Stan Wawrinka. Seuls les deux premiers sont de sérieux prétendants au titre.
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Kei Nishikori remporte son match du premier tour de l’Open d’Australie. Il l’emporte de justesse contre Thiago Monteiro en cinq sets : 4/6 6/7 7/5 6/2 6/3. Le Japonais sauve deux balles de match dans le troisième set avant de retourner la situation. L’actuel 76ème mondial a bataillé pendant 4h06. A 35 ans, ses longues heures pèseront sur la balance lors de son deuxième tour. Il affrontera Tommy Paul. S’il l’embarque dans un cinquième set, il aura peut-être une chance. Le finaliste en Grand Chelem possède l’un des meilleurs ratios de l’ère Open dans cet exercice : 29 victoires pour seulement 8 défaites.
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Voir ce que la télé ne nous montre pas. Passer de l’autre côté des courts. C’est ce que permet le livre de Danielle Bombardier : 50 ans dans les coulisses du tennis mondial. La figure emblématique de l’organisation de Roland Garros au début de l’ère Open y raconte sa vie. De sa jeunesse dorée dans les rues de Rabat aux couloirs de la Porte 13 des Internationaux de France. L’occasion de découvrir une personnalité émouvante, drôle et sans langue de bois. Les pages se dévorent comme une finale de Grand Chelem en cinq sets. Impossible de s’arrêter.
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