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La reprise du circuit ATP approche doucement. Dans seulement quelques jours, les meilleurs joueurs de la planète s’affronteront en Australie. La United Cup ouvrira le bal de la saison 2025. En attendant ce moment réjouissant, pourquoi ne pas rêver un peu ? Entre illusions, espoirs et obsessions, Parlons Tennis te plonge dans une saison 2025 féérique.
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25. C’est le nombre de titres du Grand Chelem que pourrait détenir Novak Djokovic dès janvier. Un de plus que Margaret Court. Pour la première fois depuis plus de dix ans, le Serbe ne débarquera pas à Melbourne comme le grand favori. Il aura tout à prouver. Que le Big 3 n’a pas encore abdiqué, qu’il a toujours la même haine de la défaite et surtout qu’il peut encore rivaliser avec Jannik Sinner et Carlos Alcaraz. Une quinzaine qui pourrait être déterminante pour la suite de la saison. Djoko, rendez-vous dans la Rod Laver Arena !
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Stefanos Tsitsipas pourrait revenir dans le top 5. Un défi monumental pour l’actuel onzième joueur mondial. Rien de sa saison 2024 ne laisse penser que cette ascension est à sa portée. Mais la clé réside peut-être dans ce désert. Les champions se reconnaissent par leur orgueil. Celui qui les fait rebondir après des échecs cuisants. S’il existe encore chez le Grec, c’est le moment de ressurgir. Accompagné de l’humilité des plus grands. Celle qui le poussera à se remettre en question, à repenser son identité de jeu et à apprécier la longue route qui se dresse devant lui.
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Réussir puis confirmer. Souvent, le plus dur n’est pas la première fois mais la seconde. Jannik Sinner a vite balayé le doute qui pouvait planer. En l’espace de huit mois, il a remporté ses deux premiers titres du Grand Chelem : l’Australian Open puis l’US Open. La pression liée à la place de numéro un mondial, les accusations de dopage ou un changement d’équipe en milieu de saison. Rien ne semble capable de déstabiliser l’Italien. Il est habité par une croyance absolue en son tennis. En 2025, les possibilités sont infinies. Défendre ses titres, glaner ceux qui lui résistent encore ou accroître son écart avec le reste du peloton. Pourquoi pas tout à la fois ?
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« Cela a pris plus de temps que ce que j’avais imaginé quand je suis arrivé sur le circuit, mais le plus important c’est de l’avoir fait. J’ai toujours su que j’en étais capable », déclarerait Alexander Zverev après la finale de Roland Garros. Enfin. Une saison référence vient de s’achever pour le joueur allemand. Des matchs éblouissants et d’autres déchirants. En piochant ici et là, il dispose de toutes les clés pour réaliser son rêve. Reproduire à l’infini son quart de finale de l’Open d’Australie contre Carlos Alcaraz. Fuir à tout prix son huitièmes de finale contre Taylor Fritz à Wimbledon. La suite logique pourrait être une année inoubliable : celle de son premier sacre en Grand Chelem.
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Une finale d’exception. Une à laquelle on repense plusieurs fois dans une vie. Une qu’on rêverait de revoir pour la première fois. Une dont on connait la balle de match par cœur. Wimbledon 2008 ou l’Open d’Australie 2022. C’est ce qui manque à la rivalité naissante entre Carlos Alcaraz et Jannik Sinner. Leurs matchs les plus grandioses n’ont pas eu lieu lors des plus grandes occasions. Les amorties de l’un et les demi-volées de l’autre méritent de se confronter sur l’Olympe du tennis. Le Center Court du All-England Lawn Tennis and Croquet Club.
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Avant Roger Federer, il y avait Suzanne Lenglen. La joueuse de tennis avec le plus haut taux de réussite de l’histoire : 80 titres, 341 matchs et 340 victoires. Dans Suzanne Lenglen et la femme créa le tennis moderne, Jean Christophe Piffaut raconte sa vie, ses ambitions et ses combats. Il résume l’impact de la joueuse sur le sport en quelques mots au micro de sixiemeset : « Depuis 1926, il n’y rien de neuf dans le tennis. Tout ce qui est en place aujourd’hui, tout ce qui fait le quotidien d’un joueur, a été pensé par Lenglen. Elle a eu conscience d’inventer quelque chose ». Un livre concis où chaque page est une découverte.
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